
par Marc CHAUVEAU, dominicain du couvent de la Tourette
Agora Tête d’Or 93 rue Tête d’Or, 69006 Lyon
Conditions d’inscription : Tarif par conférence : 10 €
Pour en savoir plus [->www.agoratetedor.com]

par Marc CHAUVEAU, dominicain du couvent de la Tourette
Agora Tête d’Or 93 rue Tête d’Or, 69006 Lyon
Conditions d’inscription : Tarif par conférence : 10 €
Pour en savoir plus [->www.agoratetedor.com]
Exposition photo de Mara Klein AU CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET MÉTIERS
Pendant quatre mois, la photographe a suivi trois familles roms de
Roumanie participant à un programme de régularisation inédit en
France. Andatu, « pour toi » en romanes, est un programme
expérimental porté par l’association Forum réfugiés-Cosi.
Dérogatoire au droit commun, il suit une logique d’insertion autour
de trois axes : l’accès au logement, à la formation et à l’emploi
leur permettant de s’intégrer durablement. Dans le contexte d’un
euroscepticisme et d’une xénophobie croissants, ce programme permet
d’explorer de près une question à la fois politique, sociale et
philosophique : qu’est-ce que l’intégration ?
Mélangeant photographies, projections et paroles, l’exposition donne
un aperçu du processus de régularisation en France. Devant un discours
politique qui démonise les Roms et les généralise en tant que
communauté, la photographe met en lumière des individus derrière le
mot Rom.
L’artiste a également travaillé avec un groupe de femmes roms,
développant avec elles leurs propres représentations photographiques
de ce que signifie être une femme rom en France. Leurs photos exposées
donnent accès à un intérieur féminin jusqu’alors peu connu.
4 impasse de Flesselles, 69001 Lyon – Métro Hôtel de Ville – C18
ou C13 arrêt Place Rouville
Soirée spéciale le 28 novembre à partir de 19h00.
Plongez dans le bain gustatif: un BUFFET vous invite à découvrir la
cuisine roumaine.
Entrée 2€ (soutien à l’association du Lavoir public)
EXPOSITION COMPLÈTE AU CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET MÉTIERS
4 Rue Ravier, 69007 Lyon – Métro Jean Jaurès
En savoir plus : [->http://www.lecnam-rhonealpes.fr]

Le peintre lyonnais Favrene expose à la mairie du 9ème arrondissement de Lyon du
sous le vocable : « Omnibus sans rail »

Un peu plus sur le « Gone » né à la Croix Rousse d’après : http://gones.free.fr/peintre.htm
« …D’ailleurs « ça » gratte pas mal à ma porte ces temps-ci, pas peur de grimper les six étages heureusement qu’il y a l’ascenseur, pour voir là haut si j’y suis, dégotter quelques oeuvres de mon cru, dont les prix sont encore bien gentils. Mes influences : L’école des laids arts de la rue et son terreau fertile. Le petit père Rodet et ses bonshommes d’un autre temps, d’un autre monde, qu’il a d’ailleurs été rejoindre en se laissant glisser à petits pas et quatre vingt dix ans dans les flots bleu-vert du Rhône. Mais surtout Weimberg, le Van Gogh lyonnais, mon voisin et copain du vieux Lyon, lorsque j’habitais au 13 de la rue Ferrachat, et qu’il venait me rendre visite, et me filait quelques tuyaux qui ont été pour la suite de ma trajectoire, de grande importance.
En tout cas, on a rigolé ensemble de bons coups. »

Favrène



ainsi que quelques oeuvres inédites de la BASA 2013.



Jusqu’au 1er décembre, le couvent de la Tourette, reçoit une exposition d’Annick et Patrick Poirier en focus de la Biennale d’Art Contemporain de Lyon.
En savoir plus :


Deux occasion en une, celle de découvrir le splendide chemin de croix, réalisé par le peintre Patrick Marques et quelques oeuvres inédites de la BASA 2013


le sanctuaire Saint Bonaventure accueille pour une première exposition « Hors les Murs » plus de vingt œuvres inédites de la Biennale d’Art Sacré Actuel sur le thème : « Fragiles ».


«
»
de la photographe lyonnaise Henriette Ponchon de Saint André
Eglise de Toussieu
du 21 septembre au 15 octobre
Entrée libre tous les jours de 10 h à 17 heures

Henriette Ponchon de Saint André vit et travaille à Lyon.
Depuis 1989, elle anime « L’Atelier d’Images », association qui suscite des actions d’animations par l’image ainsi que des formations à la
pratique photographique (prise de vues et laboratoire) qu’elle considère comme un art du regard et de l’écriture.
Passionnée de voyages, elle aime voir les lumières du jour, des heures et des saisons.
Mais ce qu’elle aime avant tout, c’est rencontrer les gens dans la rue, chez eux, à leur travail, dans leurs ateliers. Son appareil photographique lui sert de vecteur de communication, au delà du visible, pour saisir l’essentiel et sentir ce qui ne se dit pas.
Elle voyage seule avec son appareil photographique pour être plus disponible avec son sujet et réalise elle-même ses tirages, en noir et blanc.
Henriette Ponchon de Saint André est présente dans de nombreuses collections privées et publiques, dont celle de la Bibliothèque Nationale de France qui possède unesérie de 35 images de l’auteur.

Jusqu’au au 21 décembre 2013
Confluences Polycarpe ouverture
les jeudi, vendredi et samedi de 15h à 18h
Voir les premières photos :








[->http://www.enmanquedeglise.com/article-pour-voir-la-realite-reelle-il-faut-prendre-de-la-hauteur-l-homme-se-revele-atteint-de-nombreux-ma-120316061.html]
Ecouter en podcast l’interview d’Hughes Rousset sur RCF.
[->http://www.rcf.fr/radio/RCF69/emission/139641/653463]
[->http://www.enmanquedeglise.com/article-je-balise-un-espace-un-triangle-fragile-moi-et-toi-moi-mon-tableau-et-la-place-de-l-autre-120748860.html]
[->http://www.confluences-polycarpe.org/artistes2013.html]
Isabelle Alain ; Gilles Alfera ; Marine Allard ; Valérie Argueyrolles ;
Isabelle Baeckeroot ; Pierre Benoit ; Marie-France Bernot ;
Isabelle Blanchard ; Philippe Bossard ; Monique Brochet ; Marianne Buttler ; Jacques Cadet ; Christiane Collin ; Marie Deloume ; Jr Di Casa ; Elisabeth Durandin ; Thierry Farcy ; Daniel Faure ; Nicolas Favre ; Michel Fischer ; Flaye ; Laurent Dominique Fontana ; Jean-Paul Friol ; Roger Garin ; Gyan Meer ; Sylvie Henot ; Didier Huij ; Pierre Lacote ; Alain Le Carpentier ; Sylvain Lecrivain ; Sylvie Lobato ; Frédérique Maillart ; Christophe Masseron ;
Inès Lopez-Sanchez Mathely ; Catherine Maublanc ; Reine Mazoyer ; Miranda ; Christophe Mirande ; Jean Monnet ; Serge Nouailhat ; Maurice Novel ; Anny Pelouze ;Christian Revel ; Bernard San Miguel ; Stepk ; Jo Tachon ; Michel Thery ; Lionel Tonda ; Marie-Hélène Vallade-Huet ; Hugo Verlinde ; Florence Vernay
Le thème choisi pour cette 9è Biennale d’Art Sacré est celui de la fragilité. Un mot qui va à contre-courant de ce que l’on entend le plus souvent à propos de la performance, de la réussite ou de la recherche d’efficacité, toute cette petite musique de fond de la culture ambiante.
Or que vivons-nous, que voyons-nous autour de nous ? Souffrances de toutes sortes, maladies physiques et psychiques, chômage, familles divisées ou affrontées à la précarité, les deuils et les séparations, le suicide qui rôde La fragilité est partout présente. C’est la condition du « roseau fragile », dont parlait Blaise Pascal.
Mais dans ce tableau brille une lumière d’espérance : nous ne sommes pas laissés à nous-mêmes. Ainsi en est-il de saint Paul qui, ébloui, par le « si grand ministère » que Dieu, dans sa miséricorde, lui a confié, confesse que nous portons ce trésor « comme dans des poteries d’argile ». Se ressaisissant, il se déclare « désorienté mais non pas désemparé, terrassé, mais non pas anéanti » (2 Co 4, 7et 9).
Le Dieu tout puissant et aimant s’invite dans le monde de nos fragilités. Il se fait proche de nous en venant habiter notre chair. « L’astre du matin se lève dans nos cœurs » lorsque nous nous reconnaissons faibles et pécheurs. Cette fragilité devient un chemin de grâce par lequel, enfin, nous pourrons apercevoir Dieu qui se révèle à nous. Il n’est pas venu pour les biens portants, mais pour les malades. Il a appelé les êtres fragiles, les pauvres, les laissés-pour-compte à s’approcher de lui : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le fardeau et je referai vos forces » (Mt 11, 28).
« Ce qu’il y a de faible dans le monde, voici ce que Dieu a choisi pour confondre le monde » (1 Co, 1, 27). Nos fragilités deviennent source de fécondité, si nous laissons Dieu être notre force. C’est la réponse du Seigneur quand Paul crie pour être délivré de ses souffrances : « Ma grâce te suffit : car ma force se déploie dans la faiblesse » ( 2 Co 12, 9). Il peut alors repartir dans une humble confiance : « Je puis tout en celui qui me fortifie » (Ph 4, 13).
Merci aux artistes d’évoquer les milles visages de la fragilité au cœur de nos vies. Nous saurons les accepter et nous trouverons le moyen d’aller de l’avant, nous aussi, si nos yeux se lèvent et si nos regards se tournent vers « le Rocher qui nous sauve ».
Cardinal Philippe BARBARIN
Archevêque de Lyon
Renseignements : [->http://www.confluences-polycarpe.org/accueil.html]
Contacts : confluences.beau@orange.fr
ou 04 72 40 98 20 (permanences le jeudi de 15h00 à 18h00
entrée par le passage Mermet)
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